Picot de Peccaduc
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Naissance | Grand-Fougeray |
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Décès | (à 67 ans) Vienne |
Nationalité | française |
Activités | Officier, soldat |
Père | Pierre Jean Baptiste Picot de Peccaduc (d) |
Mère | Angélique Marguerite de La Chevière (d) |
Conjoint | Anna Gräfin Sedlnitzky (d) |
Enfant | August Picot de Peccaduc, Freiherr von Herzogenberg (d) |
Grade militaire | Maréchal lieutenant |
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Pierre-Marie-Auguste Picot de Peccaduc (ou de Peccadeuc), puis von Herzogenberg (Grand-Fougeray, - Vienne, ), était un sergent-major à l'École royale militaire à Paris en 1785, quand Napoléon Bonaparte (1769-1821) y était un cadet.
Selon le mythe napoléonien, Picot de Peccaduc, cadet le plus gradé de sa promotion, se mit entre Napoléon et son cadet ennemi Louis-Edmond-Antoine le Picard de Phélippeaux (1767-1799), futur contre-révolutionnaire, pour les empêcher de se donner des coups de pied l'un à l'autre, et par conséquent il reçut des coups de pied de tous les deux. Abel Gance, dans son film Napoléon de 1927, transposa cette scène de Paris à Brienne, où Napoléon avait été un sous-cadet[Quoi ?].
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