Émile Diot
![Page d’aide sur l’homonymie](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a9/Logo_disambig.svg/20px-Logo_disambig.svg.png)
Pour les articles homonymes, voir Diot.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/9c/Bicycle_with_Rider.svg/40px-Bicycle_with_Rider.svg.png)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1f/Nuvola_France_flag.svg/35px-Nuvola_France_flag.svg.png)
Cet article est une ébauche concernant un coureur cycliste français.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Pour plus d’informations, voyez le projet cyclisme.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/39/Emile_Diot.jpg/260px-Emile_Diot.jpg)
Surnom | Les Diables Rouges (avec Émile Ignat) |
---|---|
Naissance | ![]() Osmery (d) ![]() |
Décès | ![]() Villeparisis ![]() |
Nationalité | française ![]() |
Distinction |
|
|
Six jours de Chicago, 1936 et 1937 avec Émile Ignat |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/cd/%C3%89mile_Diot_-_6_jours.jpg/300px-%C3%89mile_Diot_-_6_jours.jpg)
Émile Diot, né le à Osmery (Cher) et mort le à Villeparisis[1],[2], est un coureur cycliste français. Il courut des Six-Jours. Mobilisé au 5e escadron du train des équipages militaires, pendant la Seconde Guerre mondiale, mort pour la France en juin 1940, il repose à la nécropole nationale de Fleury-les-Aubrais.
Biographie
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/87/Fairytale_warning.png/17px-Fairytale_warning.png)
Il est membre de Lutèce Sportif[3]. En 1930, il est routier, gagnant quinze courses pendant la saison (il ne s’agissait pas de courses retentissantes, mais qui rassemblaient cependant quelques champions).
En 1931-1932, il gagne deux américaines au « Vel'd'Hiv » avec Fernand Wambst, et termine second de la grande finale de la Médaille derrière Louis Chaillot. Il accumule par la suite les succès sur la piste : 7 américaines à la « Cipale », ainsi que 43 courses en 1932 comme indépendant[4].Il passe professionnel en 1932[3].
Il est le père du journaliste sportif Richard Diot, né en 1937[réf. souhaitée].
Le Prix Émile Diot est créé en son hommage.
Palmarès
- 1933
- 2e du Prix Goullet-Fogler
- 1936
- 2e des Six jours de Paris
- 3e des Six jours de New York
- 3e des Six jours de Londres à Wembley, Empire Pool[5]
- 1er des Six jours de Chicago (b) avec Émile Ignat
- 1er du Prix Émile Bouhours derrière cyclomoteur
- 1937
- 1er des Six jours de Chicago avec Émile Ignat,
- 2e des Six jours de Chicago(b)
- 2e des Six jours de Londres à Wembley, Empire Pool[6]
- 2e des Six jours de New York(b)
- 2e Montréal, Six Jours
- 2e des Six jours de New York
- 1938
- 2e des Six jours de Paris
- 3e du Prix du Salon d'américaine
- 1er du Prix Goullet-Fogler (avec Fernand Wambst)
- 3e du Prix Hourlier-Comès
- 1939
- 1er du Prix Dupré-Lapize avec Fernand Wambst
Références
Bibliographie
- Émile Diot et Émile Ignat, « Notre secret ? Une bonne amitié, une grand franchise... recueilli par Félix Lévitan », Match, no 614, , p. 5 (lire en ligne, consulté le )
Lien externe
Sur les autres projets Wikimedia :
- Émile Diot, sur Wikimedia Commons
- Ressources relatives au sport
:
- CycleBase
- Site du Cyclisme
Portail du cyclisme
Portail du Cher